le debut .... Bendor le client le plus glamour du Carlton Les bijoux extraordinaires offerts par le Duc de Westminster Sa grande passion était d'offrir, sans compter, des cadeaux somptueux au femmes qu'il trouvait belles ... Marilyn Monroe (1926-1962) qui disait toujours que "Diamonds are the Girls best friends" aurait probablement eu une crise cardiaque face à la taille des bijoux ... mais elle n'était pas encore née. Well elle aurait pu le rencontrer à la fin de la vie de Bendor, tout au début de sa propre carrière, mais cela ne s'est pas fait ... Encore assez jeune le Duc de Westminster s'est mis à acheter des bijoux, pas pour lui même, mais pour les offrir. Ses nombreuses conquettes, Coco Chanel, et les 4 Duchesses, (ses différentes épouses au fil du temps) ont été les bénéficiaires. Ses achats se faisaient essentiellement chez Cartier, Van Clef et Harry Winston.
La passion de faire des cadeaux Ca lui arrivait aussi de glisser un bijoux à une femme tout simplement parce qu'il la trouvait belle comme on offre parfois spontanement une cigarette. Et s'il était un peu timide, il faisait livrer des fleurs avec un bijoux délicatement inseré dans un bouquet. De temps en temps l'ancien concierge du Carlton a du les voir ... Dans la dernière décennie de sa vie Bendor développe une passion un peu particulière: ne pas acheter des bijoux dans une bijouterie comme "monsieur (fortuné) tout le monde" mais se mettre à la "chasse" des bijoux historiques, essentiellement ceux qui ont appartenu à la Couronne de France entre autre à l'Impératrice Eugénie, sa dernière reine et ceci par tous les moyens possibles et inimaginables. L'impératice avait eu en son temps une des plus grandes collection de bijoux au monde. Elle avait été une femme qui était très interessée par les arts. Sous le régime de son mari Paris avait été métamorphosée par les travaux du Baron Haussmann. Mais en 1870 la guerre avec la Prusse aboutissait dans la fin du Second Empire (règne de Napoléon III). La nouvelle République Française fut très peu reconnaissante au accomplissements du couple imperial pour son oeuvre historique considérable au niveau architectural, si bien qu'aujourd'hui beaucoup d'enfants Français ne savent même pas que l'imératrice Eugénie a existé. Dans cette ligne de conduite la France a, en 1887, eu l'idée bien étrange de liquider les bijoux de la couronne, un peu comme si aujourd'hui la France vendait au rabais les collections du Louvre afin de pouvoir vite oublier son passé. Ainsi est parti tout un trésor qui avait accompagné son histoire. Retrouver les bijoux de la couronne de France était comme une chasse au trésor qui passionnait le 2ème Duc, Hugh Grosvenor. Et c'était une chasse bien compliquée car certains trésors, comme les larges parures avait même été transformées en broches et bijoux diverses. Il ne fallait pas trop en parler car la destinatrice de ces cadeaux n'était ni la 3ème ni la 4ème (et dernière) Duchesse de Westminster, ses épouses, ni une jolie femme à laquelle il voulait faire une surprise. C'était une femme dont la beauté était si exceptionelle qu'elle a du quitter son pays natal car le Président de celui-ci était tellement fasciné par elle que les affaires du pays en souffraient. Ni une Anglaise, ni une Française, ni une Américaine .... Elle va réapparaître dans la 2ème partie de cet article. Bendor l'avait rencontré en 1939 entre l'Hotel Carlton à Cannes, un cocktail à Paris et un Bal de Lady Mendl à Versailles. Puis en 1939 elle lui a échappé en émigrant à New York .... la suite sur cette femme si belle arrive bientôt ... Même les achats des bijoux les plus extravagantes ne pouvaient pas runier Bendor, Hugh Richard Grosvenor, tellement ses rentes étaient immenses, des milliers et milliers de Livres Sterling, chaque séconde .... Posséder la moitié du coeur d'une grande ville comme Londres ... ce n'est pas si mal. la suite ... les destinatrices des Bijoux Video sur differentes bijoux Européens Quelques sités en lien avec cet article: |