Phonebook of France.com
Hotel Carlton.fr
Phonebook of the World.com

Le Flyiong Cloud, yacht de Bendor
 
Le Duc de Westminster,
ou Bendor (1878-1953)
sur son yacht "Le Flying Cloud"
en 1925
 
   
 
Hotel Carlton in English Hotel Carlton in French Hotel Carlton in German Hotel Carlton in Spanish Hotel Carlton in Russian Hotel Carlton in Italian
 
 
Hotel Carlton in Portugeese Hotel Carlton in Hebrew Hotel Carlton in Chineese Hotel Carlton in Japaneese Hotel Carlton in Dutch Hotel Carlton in Arabic
 



le debut .... Bendor le client le plus glamour du Carlton


Les bijoux extraordinaires offerts par le Duc de Westminster

Bendor à 47 ans
Sa grande passion était d'offrir, sans compter, des cadeaux somptueux
au femmes qu'il trouvait belles ...
Marilyn Monroe (1926-1962)
qui disait toujours que "Diamonds are the Girls best friends"
aurait probablement eu une crise cardiaque face à la taille des bijoux
... mais elle n'était pas encore née.
Well elle aurait pu le rencontrer à la fin de la vie de Bendor,
tout au début de sa propre carrière,
mais cela ne s'est pas fait ...

Coco Chanel avec des perles offert par BendorDiamond ringboucles d'oreilleCartier
Encore assez jeune le Duc de Westminster s'est mis à acheter des bijoux,
pas pour lui même,
mais pour les offrir.
Ses nombreuses conquettes, Coco Chanel, et les 4 Duchesses,
(ses différentes épouses au fil du temps) ont été les bénéficiaires.
Ses achats se faisaient essentiellement chez
Cartier, Van Clef et Harry Winston.

Carteir Jewels Art Poster
Cartier Jewelry
Alfred Eisenstaedt


La passion de faire des cadeaux
Ca lui arrivait aussi de glisser un bijoux à une femme tout simplement
parce qu'il la trouvait belle
comme on offre parfois spontanement une cigarette.
Et s'il était un peu timide,
il faisait livrer des fleurs avec un bijoux délicatement inseré dans un bouquet.
De temps en temps l'ancien concierge du Carlton a du les voir ...

l'imperatrice Eugeniediademe de l'imperatrice Eugenie
Dans la dernière décennie de sa vie
Bendor développe une passion un peu particulière:
ne pas acheter des bijoux dans une bijouterie
comme "monsieur (fortuné) tout le monde"

mais se mettre à la "chasse" des bijoux historiques,
essentiellement ceux qui ont appartenu à la Couronne de France
entre autre à l'Impératrice Eugénie, sa dernière reine
et ceci par tous les moyens possibles et inimaginables.

L'impératice avait eu en son temps une des plus grandes collection de bijoux au monde.
Elle avait été une femme qui était très interessée par les arts.
Sous le régime de son mari
Paris avait été métamorphosée par les travaux du Baron Haussmann.
Mais en 1870 la guerre avec la Prusse aboutissait dans la fin du Second Empire (règne de Napoléon III).

La nouvelle République Française fut très peu reconnaissante
au accomplissements du couple imperial pour son oeuvre historique
considérable au niveau architectural,
si bien qu'aujourd'hui beaucoup d'enfants Français ne savent même pas
que l'imératrice Eugénie a existé.

Dans cette ligne de conduite la France a,
en 1887,
eu l'idée bien étrange de liquider les bijoux de la couronne,
un peu comme si aujourd'hui la France vendait au rabais
les collections du Louvre afin de pouvoir vite oublier son passé.
Ainsi est parti tout un trésor qui avait accompagné son histoire.



broche de l'imperatrice Eugenie
Retrouver les bijoux de la couronne de France
était comme une chasse au trésor
qui passionnait le 2ème Duc, Hugh Grosvenor.
Et c'était une chasse bien compliquée car certains trésors,
comme les larges parures
avait même été transformées en broches et bijoux diverses.

Il ne fallait pas trop en parler
car la destinatrice de ces cadeaux
n'était ni la 3ème
ni la 4ème (et dernière) Duchesse de Westminster,
ses épouses,
ni une jolie femme à laquelle il voulait faire une surprise.

C'était une femme dont la beauté était si exceptionelle
qu'elle a du quitter son pays natal
car le Président de celui-ci était tellement fasciné par elle
que les affaires du pays en souffraient.

Ni une Anglaise, ni une Française, ni une Américaine ....
Elle va réapparaître dans la 2ème partie de cet article.

Bendor l'avait rencontré en 1939
entre l'Hotel Carlton à Cannes,

un cocktail à Paris et un Bal de Lady Mendl à Versailles.
Puis en 1939 elle lui a échappé
en émigrant à New York ....

Aimée de Herren en 1946
la suite sur cette femme si belle arrive bientôt ...


Même les achats des bijoux les plus extravagantes ne pouvaient pas
runier Bendor, Hugh Richard Grosvenor,
tellement ses rentes étaient immenses,
des milliers et milliers de Livres Sterling,
chaque séconde ....
Posséder la moitié du coeur d'une grande ville comme Londres ...
ce n'est pas si mal.




la suite ... les destinatrices des Bijoux




Video sur differentes bijoux Européens

 

Quelques sités en lien avec cet article:

Le centre d'expostion
Cremerie de Paris
Dans l'histoire de la Cremerie .... Aimée de Heeren, Bendor et
Coco Chanel
L'histoire de Chanel par VB.com
L'histoire de Aimee de Heeren
Site sur l'histoire de marques
Very Beautiful = VB.com

en preparation Palace Hotels of the World.com

Site d'information sur l'activité des Ducs de Westminster Grosvenor Estate
edite par l'heritier de Bendor le 6eme Duc de Westminster.
Site d'information sur la vie du mari de l'imperatrice Eugenie Napoleon III
Site d'information sur le
Ducs Anglais



     

Phonebook of the World